Les chèques vacances pour vos employés

Après les tickets restaurant, les chèques vacances.


Plus de vacances et de loisirs

Créé en 1982 pour permettre à la majorité de partir en vacances, le Chèque-Vacances est accessible à tous, dans les entreprises qui les proposent mais aussi dans les Caisses d'Allocations Familiales, les Centres Communaux d'Action Sociale ou les Caisses de retraite. Les Chèques-Vacances sont mis en place par l'entreprise, le comité d'entreprise ou d'œuvres sociales qui les cèdent à ses salariés en prenant à sa charge une partie du coût.

Un sésame reconnu et reconnaissable

Le Chèque-Vacances offre une très grande liberté d'utilisation tant sa palette est large.
Transports, hébergements, activités culturelles et sportives, restauration… ; le Chèque-Vacances permet de profiter de toutes ces prestations de service auprès de 160 000 points d'accueil en France (y compris en Outre-mer), pour des prestations en France ou dans les pays membres de l'Union Européenne.
Il est utilisable chez les professionnels du tourisme, du voyage, des loisirs et de la culture qui ont signé une convention avec l'ANCV. Sur place, ces établissements sont signalés par un macaron d’accueil : « Bienvenue Chèque-Vacances ! »


Un instrument de solidarité

Le Chèque-Vacances rentre dans le cadre de la politique sociale de l'ANCV qui veut offrir des vacances pour tous afin de lutter contre toute forme d'exclusion. Les excédents de gestions générés par leur commercialisation sont redistribués au profit de l'aide au départ en vacances des publics défavorisés (familles monoparentales, personnes âgées et handicapées, jeunes précaires, etc.).


source: ancv.com

Normes électriques en vigueur

Comme souvent c'est le cas, les foyers français ne sont pas aux normes électriques en vigueurs. Et pourtant celles ci sont en place depuis 2002. Devispresto vous éclaire sur les principaux changements effectués en 2002, que vous devriez adopter pour une plus grande sécurité en sein de votre chez vous, en vous faisant découvrir la liste ci-dessous :

  • Un nombre minimum de socles de prise de courant et de circuits spécialisés (électroménager).
  • Généralisation de la protection différentielle 30 mA.
  • Mise en œuvre d'un disjoncteur différentiel de type A pour protéger notamment la plaque de cuisson et le lave-linge.
  • Une protection 2A dédiée à la VMC.
  • Une protection 2A pour le circuit d'asservissement tarifaire, le fil pilote ou le gestionnaire d'énergie.
  • Dispositifs de connexion pour luminaires (DCL).
  • Mise en œuvre obligatoire de parafoudre dans certains cas.
  • Obligation de fournir un schéma de l'installation.
  • Réserve de 20% minimum obligatoire dans le ou les tableau(x) de répartition.
  • Interdiction des appareillages à griffes et obligation d'obturateurs pour les prises de courant 16A ou plus.
  • Tous circuits équipés d'un conducteur de terre, y compris ceux alimentant les appareils dotés d'une double isolation et les circuits d'éclairage.

source : ideesmaison.com

Satisfait ou Reconduit

Devispresto vous rappel ce mois ci notre politique Satisfait ou Reconduit.
En effet, Devispresto, toujours soucieux de satisfaire ses clients, promet aux membres devispresto de leur envoyer un nombre minimal de projets (dépendant au montant total de votre commande). Si par malheur nous échouions à notre tâche, devispresto s'engage à vous reconduite GRATUITEMENT votre prochaine cotisation !


Ainsi, quand vous validez votre panier, un message comme celui au dessus apparaît vous indiquant le nombre de demandes minimum que nous vous promettons.

Qu'attendez vous pour connaitre votre nombre de demandes de devis garanties sur votre prochaine cotisation? Faites une simulation dès maintenant en cliquant ici.

Interview de M Dupuis

Gérard Dupuis fondateur de la société Dupuis Peinture, artisan peintre chez Devispresto a accepté de parler des bénéfices à avoir rejoint le réseau devispresto.com.


GD : "Le site Devispresto.com me permet de recevoir pratiquement quotidiennement des projets de chantiers concrets et qui se situent dans ma localité. Ainsi, je n'ai plus besoin de prospecter par moi même et n'ai qu'à choisir les projets les plus intéressants et qui me conviennent le plus. Je refuse beaucoup de projets tellement j'en reçois via devispresto ! Mes clients obtenus via Devispresto représentent environ 60% de ma clientèle totale, les autres sont des particuliers qui feuillettent les pages jaunes ou qui on entendu parler de moi par d'anciens clients."

CRM Devispresto : Zoom sur l'historique des demandes


Le CRM de Devispresto comme vu précédemment est d'une réelle utilité lorsque l'on sait correctement l'utiliser. Ainsi, ce mois ci nous allons faire un focus dans votre compte sur l'historique des demandes.



Cet outil permet ainsi d'effectuer une recherche rapide des demandes correspondant à vos modules et vos spécialités.

- Dans un premier temps vous pouvez effectuer une recherche globale mais personnalisée en sélectionnant :
1. Votre ou vos catégorie(s) de projet
2. Votre ou vos département(s)3. La date de parution du projet (de 7 jours à 1 an)
vous pouvez ainsi retrouver des anciens projets expirés ou non pour obtenir le nom ou l'adresse d'un client pour une facture ou autre...
A la suite de cette sélection, vous pouvez vous créer un agent de recherche, en enregistrant dans vos favoris les catégories, départements et période de recherche désirés.
Vous pouvez ainsi vous créer une recherche rapide pour votre prochaine connexion, vos paramètres étant enregistrés pour toute recherche de favoris.



- Vous avez aussi la possibilité de faire une recherche rapide de devis correspondant à vos modules grâce au lien situé en haut à droite.

- Autre possibilité, vous pouvez faire une recherche rapide en sélectionnant dans le compte l'outil recherche rapide qui vous permet une nouvelle fois d'obtenir des demandes de devis selon votre choix de catégorie, lieu et date de parution des demandes.

- Dernier outil à utiliser pour optimiser votre temps de recherche :

Cependant la recherche n'est pas personnalisée comme dans l'outil historique des demandes, elle s'appuie juste sur une information générale permettant de vous donner un aperçu de l'offre.

Tous ces outils sont mis à votre disposition afin d'optimiser votre temps de recherche et vous permettre de trouver rapidement des demandes devis répondant au maximum à votre profil.

Votre ascenseur est-il aux normes ?


"Nous tirons la sonnette d'alarme car seulement 15% de ces contrôles obligatoires, qui doivent être effectués dans l'année qui suit la réalisation de ces travaux, ont eu lieu", a déclaré M. Hervé Lasseigne, président de la Fiebca (Fédération des experts et bureaux de contrôle ascenseurs)lors d'une conférence de presse à propos du faible nombre de contrôles techniques quinquennaux, pourtant obligatoires, effectués après des travaux de modernisation et de sécurisation des ascenseurs.

"Or 90% des travaux de la première tranche des travaux obligatoires, déterminés par une loi de 2003 auront été effectués à la fin de l'année", a ajouté M. Lasseigne.
Pour la Fiebca, "la responsabilité du propriétaire, pensant de bonne foi avoir fait le nécessaire pour se mettre en conformité, est engagée" si ce contrôle, "en général inférieur à 500 euros", n'est pas effectué.
La Fiebca, qui regroupe une trentaine de cabinets et 70% des experts, dénonce le fait que "beaucoup de copropriétés retardent l'engagement des travaux pour des raisons économiques et souvent par manque de compréhension des propositions complexes des ascensoristes".
De plus, selon la Fiebca, "80% des contrôles techniques effectués entraînent des réserves sur les travaux effectués".
"Le nombre de réserves de maintenance relevé est élevé: 7 à 10 en moyenne, plus de 20 dans des cas extrêmes", indique M. Lasseigne.
La Fiebca affirme par ailleurs que les ascensoristes minorent le nombre de pannes par appareil qui serait, selon elle, non pas de 3 par appareil et par an mais de "6 à 12, hors vandalisme".
La France compte 450.000 ascenseurs destinés au transport des personnes, mais ce parc est vieillissant, la moitié ayant plus de 25 ans d'âge et un quart plus de 40 ans.


Sources : le moniteur

Carreleur : le souci du détail

Interview de Mr FRANCO carreleur de métier

Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai d’abord travaillé dans une imprimerie en tant que manœuvre. Et puis, à 19 ans, j’ai commencé dans le secteur du bâtiment comme électricien puis comme cimentier-carreleur alors que je n’avais jamais posé un carrelage de ma vie.
J’ai donc appris sur le tas et, quinze jours après, je commençais à carreler sans problème. Après 7 ans d’expérience, j’ai obtenu l’accès à la profession de cimentier-carreleur.
A la suite de la faillite de l’entreprise qui m’occupait, j’ai travaillé chez un installateur de cuisines et de salle de bains. C’est en travaillant avec lui que j’ai obtenu aussi l’accès à la profession en électricité et en installation de sanitaires.
Quelques années plus tard, j’ai pris un registre de commerce à mi-temps tout en travaillant pour un patron pour l’autre mi-temps.
Après deux ans de ce régime, je me suis installé à temps plein en tant qu’indépendant et, la seule chose que je regrette est de ne pas avoir commencé plus tôt.

Quelle est votre journée-type de travail ?
Je ne fais pas que du carrelage. Préparer les devis exige énormément de temps. Je travaille 8 à 9 heures sur chantier, puis le soir je m’occupe de visites, de devis, de comptabilité, …
Pouvez-vous nous décrire les projets/chantiers que vous réalisez ?
Lorsqu’il s’agit uniquement de carrelage, le client en général vient choisir et expliquer ses desiderata pour une pièce ou l’autre. Par contre, s’il faut changer un ancien carrelage, alors il faut organiser la démolition, le démontage et proposer un plan et une perspective de la pose du carrelage.

Vous êtes chef d’entreprise, quelles sont vos exigences lorsque vous engagez quelqu’un ?
En fait, j’ai eu deux jeunes avec moi en formation, ils venaient de la région bruxelloise. Malgré mes recherches ou les annonces que je faisais passer dans la presse, il est très difficile de trouver des jeunes intéressés par le travail.
La première de mes exigences est l’envie de travailler. Etre tout simplement en présence de quelqu’un qui ait envie d’apprendre ce métier, de créer et d’être fier de son travail.

Carreler est un travail de finition dans la construction, devez-vous aussi réparer ou rénover dans certains cas ?
Bien sûr, il m’est arrivé de réparer après une infiltration ou une fuite d’eau. Les joints avaient noirci ou le carrelage se décollait. Il est parfois nécessaire de tout enlever et de refaire le mur.

Devez-vous maîtriser d’autres techniques dans votre métier comme la maçonnerie ou savoir faire une chape ?
Bien sûr, lors d’un chantier très récent, on rénovait un bâtiment avec d’autres corps de métier : chauffagiste, plombier, …
Après avoir réalisé les chapes, nous nous sommes aperçu qu’un tuyau était mal placé et m’empêchait de carreler. J’ai donc dû enlever une partie de la chape, découper le tuyau et modifier les raccords de façon telle que ce tuyau devienne invisible.
Il arrive aussi, par exemple, que je doive ajouter une marche à celles qui sont prévues entre deux pièces. Il s’agit donc de maîtriser les techniques de maçonnerie, de cimentage.

Quels sont les avantages et les inconvénients de votre profession ?
Le grand avantage de la profession est la satisfaction personnelle d’un travail bien réalisé. L’inconvénient est le manque de répit. Il s’agit d’un métier qui occupe beaucoup de temps.
Quels conseils donneriez-vous à un jeune désireux de devenir carreleur ?
Tout d’abord, il faut être patient. Chez un patron il ne carrellera pas tout de suite, il faut apprendre…

Quelles sont les qualités indispensables ?
Etre précis, consciencieux, être capable de proposer au client ce qui lui convient le mieux, le conseiller dans ses choix.

Combien peut espérer gagner un jeune en débutant ?
Bien entendu, cela est variable, je pense que cela doit tourner autour de 7.5 € de l heure pour un débutant.