La relation "entreprise - Pôle emploi" simplifiée

Nouveauté pour les entreprises au Pôle emploi !

Besoin d'embaucher des salariés pour votre entreprise ? Besoin de renseignements ? Depuis le lundi 29 mars, les entreprises qui souhaitent déposer une annonce pour leur recrutement ou s’informer sur les aides à l’embauche peuvent contacter le Pôle Emploi au 39 95. Un numéro, unique et plus facile à retenir que les anciens : ces derniers étaient différents selon chaque département et comportaient alors 10 chiffres.

Ambition affichée par Laurent Wauquiez, le secrétaire d’Etat à l’emploi : « qu’on ne perde aucune offre d’emploi en 2010 ».

Zoom sur le CRM : Historique des demandes

Zoom sur l'historique des demandes

Ou comment trouver rapidement une demande de devis

Le CRM de Devispresto comme vu précédemment (cf newsletter février / mars 2010) est d'une réelle utilité lorsque l'on sait correctement l'utiliser.

Ainsi, ce mois ci nous allons faire un focus dans votre compte sur l'historique des demandes.


Cet outil permet ainsi d'effectuer une recherche rapide des demandes correspondant à vos modules et vos spécialités.

- Dans un premier temps vous pouvez effectuer une recherche globale mais personnalisée en sélectionnant :

1.Votre ou vos catégorie(s) de projet

2.Votre ou vos département(s)

3.La date de parution du projet (de 7 jours à 1 an)
vous pouvez ainsi retrouver des anciens projets expirés ou non pour obtenir le nom ou l'adresse d'un client pour une facture ou autre...







A la suite de cette sélection, vous pouvez vous créer un agent de recherche, en enregistrant dans vos favoris les catégories, départements et période de recherche désirés.
Vous pouvez ainsi vous créer une recherche rapide pour votre prochaine connexion, vos paramètres étant enregistrés pour toute recherche de favoris.


- Vous avez aussi la possibilité de faire une recherche rapide de devis correspondant à vos modules grâce au lien situé en haut à droite.

- Autre possibilité, vous pouvez faire une recherche rapide en sélectionnant dans le compte l'outil recherche rapide qui vous permet une nouvelle fois d'obtenir des demandes de devis selon votre choix de catégorie, lieu et date de parution des demandes.

- Dernier outil à utiliser pour optimiser votre temps de recherche :


Cependant la recherche n'est pas personnalisée comme dans l'outil historique des demandes, elle s'appuie juste sur une information générale permettant de vous donner un aperçu de l'offre.

Tous ces outils sont mis à votre disposition afin d'optimiser votre temps de recherche et vous permettre de trouver rapidement des demandes devis répondant au maximum à votre profil.

Nouveauté Devispresto : Le Paiement Mensuel !

Vous avez dès à présent la possibilité de payer votre cotisation en plusieurs fois sans frais !

Suite à vos demandes, nous avons fait évoluer le système de paiement de votre cotisation, que ce soit pour le premier accès ou pour son renouvellement.

En effet, vous pouvez désormais accéder directement aux services Devispresto tout en échelonnant votre paiement sur l'année... Payez ainsi votre sélection en 1 fois, 2 fois ou 12 fois sans frais !

Ce nouveau service qui s'ajoute aux nombreux avantages Devispresto, vous permet de prendre le nombre de modules souhaités, sans contraintes, sans frais supplémentaires, sans limites, et de les payer tout au long de l'année. Vous pouvez ainsi élargir votre sélection finale de modules et obtenir un nombre plus important de demandes de devis.

Devispresto ne vous propose que des avantages ! Ainsi vous avez aujourd'hui le choix de régler votre cotisation sur l'année en 12 fois sans frais. Cependant si vous décidez de payer votre cotisation en une seule et unique fois, vous bénéficiez de 20% de réduction sur le montant total de votre sélection de modules. Si votre choix est de régler en 2 fois sans frais, une réduction de 10% vous sera attribuée.

Trouvez au final, la meilleure solution adaptée à votre comptabilité.

Entreprise et Franchise

Savoir diagnostiquer une entreprise cédée en franchise



Parce que reprendre une franchise peut être un véritable parcours du combattant, nous vous soumettons quelques étapes à vérifier avant tout rachat.


Création / reprise, même combat


Le futur franchisé devra mener l’enquête sur le réseau qu’il projette d’intégrer. Concept, niveau du turn-over et raisons des départs, santé financière du franchiseur, consistance de son savoir-faire, droits et obligations des franchisés… le but est de recueillir un maximum d’informations auprès du franchiseur, du cédant, ainsi que de 4 ou 5 autres franchisés sélectionnés au hasard pour s’assurer du sérieux de l’enseigne. « Sans oublier de rencontrer les réseaux concurrents pour comparer », ajoute Laurence Vernay, avocate du cabinet Saje. Mais ce n’est pas tout : en matière de reprise, des investigations complémentaires sont nécessaires. Il faut en effet réaliser le « diagnostic » de l’entreprise cible pour éviter les déconvenues et acheter au juste prix.

Première étape : la rentabilité à l’épreuve

Il faut commencer par éplucher les documents comptables (bilans, comptes d’exploitations sur 3 ans…) et analyser la gestion. « Comment l’affaire tourne-t-elle ? Fait-elle partie des bons éléments du réseau ? Quelle est la rentabilité ? Comment est-elle structurée ? Quel est le potentiel de développement ? Autant de questions à résoudre », selon Marie Muller. Si la rentabilité s’avère faible, il est impératif de chercher à en comprendre les raisons.

Bail et franchise à expertiser

Parmi les autres points à examiner, Yves Portrat, délégué de l’association Cédants et repreneurs d’affaires (CRA) en charge des réseaux, cite « la clientèle, la masse salariale, les litiges en cours, les aspects juridiques ainsi que l’ensemble des contrats (de travail, de bail, immobilier…)». Deux contrats doivent faire l’objet d’une attention particulière : le contrat de bail et le contrat de franchise. Le premier est automatiquement transmis avec l’entreprise sauf si une clause prévoit le consentement express du bailleur. Il faut donc vérifier les termes du contrat avant de s’enquérir de la durée restant à courir. « Le repreneur a droit au bénéfice du renouvellement du bail sous réserve qu’il ait exercé l’activité dans les lieux pendant 2 ans au minimum avant l’expiration du contrat », explique Laurence Vernay. Le bailleur peut cependant refuser le renouvellement. Il devra alors verser une indemnité d’éviction.

Vérifier la mise à jour


Le contrat de franchise, quant à lui, est rarement transféré à l’acquéreur. « Dans la plupart des réseaux, le franchiseur signe systématiquement un nouveau contrat avec le repreneur », observe Jean Beaudoin, expert dans la stratégie et le développement de réseaux commerciaux. « Ce dernier doit alors payer les droits d’entrée ou, à tout le moins, les frais de formation », poursuit-il.
Ultime précaution à prendre : s’assurer auprès du franchiseur que le cédant est bien à jour par rapport à toutes ses obligations vis-à-vis de l’enseigne (agencement, savoir-faire…) et exiger un courrier l’attestant. Les pratiques du cédant et les faits antérieurs à la cession peuvent en effet avoir une incidence majeure sur la valeur de l’entreprise.

Sécuriser l’opération de reprise

Il est recommandé de se faire accompagner tout au long du processus de reprise par un conseiller spécialiste de la franchise (expert-comptable, juriste…) capable de déceler les « défauts » éventuels de l’entreprise proposée à la vente. Cela représente un coût non négligeable. A titre d’exemple, le cabinet Acetra Conseil prélève 1 à 7 % du montant de la transaction, selon la complexité du projet, pour une prestation complète comprenant l’étude approfondie du dossier et le montage financier. Le prix à payer pour sécuriser la démarche de reprise.

Source : Les Echos 19.03.2009,
Par Ann-Karen Bartoszewski

Artisanat : Résultats 1er trimestre 2010

« Pas d’embellie, mais une amorce »


Confirmant les prévisions de son prédécesseur, le nouveau Président de la Confédération des artisans du bâtiment a annoncé prudence et vigilance pour l’activité en 2010, évoquant une baisse de 3%. « L’évolution est orientée à la baisse », a-t-il dit, même si l’on note un ralentissement de la dégradation. Il a également réaffirmé les positions de la CAPEB sur des sujets comme l’auto-entrepreneur ou la TVA à 5.5%. Détails.

Après une année 2009 qui s’est terminée à -7% pour le bâtiment et à -5.5% pour l’artisanat du bâtiment, l’activité du 1er trimestre 2010 reste conforme aux prévisions. Alors que le volume d’activité dans le bâtiment régresse de 8% sur un an, celui de l’artisanat du bâtiment affiche un repli à -6% au 1er trimestre 2010 comme en tendance annuelle (contre -4% sur la même période de 2009). Une baisse moins rapide qu’en 2009, qui laisse espérer une stabilisation, indique la Capeb.

Ainsi, dans le neuf, l’activité sur les trois premiers mois de l’année affiche une chute de 11%, un chiffre qui marque la stabilisation de la baisse puisque le 4e trimestre 2009 enregistrait une baisse de 11.5%. Le Président a, entre autres, expliqué cette baisse par les nombreuses mises en chantier initiées par les gros groupes de BTP, un secteur jusqu’ici prisé par les petites entreprises du bâtiment. Côté rénovation, les intempéries de cet hiver ont largement impacté les métiers de l’artisanat, notamment dans le neuf et touché autant le gros œuvre que le second œuvre. « C’est un paramètre de plus qui est venu s’ajouter à une situation déjà critique », a souligné le Président. Rappelant, en outre, que le 1er trimestre avait enregistré une baisse de l’activité de 2%, contre -3% sur le même trimestre de 2009.

« L’éclaircie n’est pas totale »

Concernant l’activité dans les entreprises, Patrick Liébus a estimé que la baisse touche indifféremment les petites comme les grandes entreprises artisanales, qui connaissent une atténuation de la dégradation de leurs plans de charge. Parmi les métiers les plus impactés, la maçonnerie affiche le plus fort repli, à -9.5% en volume en 2009, suivie du secteur de la menuiserie/serrurerie/électricité à -6%. La couverture/chauffage/plomberie enregistre une baisse de 4%, tandis que les métiers de l’aménagement/décoration/plâtrerie reculent à -2.5%. Du côté de la trésorerie des entreprises, « elles deviennent de plus en plus exsangues », a déclaré le Président.

Celles-ci ont notamment dû faire face à une hausse des matériaux, à des demandes des salariés de plus en plus exigeantes en termes de rémunération et surtout à la réduction des délais de paiement. A ce sujet, Patrick Liébus a réaffirmé la prise de position dès le départ de la Capeb, ce qui a conduit à amoindrir les incidences sur l’activité des artisans, qui restent néanmoins touchés puisqu’aucune obligation n’est imposée aux clients finaux en la matière.

Enfin, s’il prévoit une baisse de l’activité de 3% pour l’année 2010, le Président parle d’une stabilisation de la baisse pour le neuf qui est en train de frémir et d’un ralentissement de la baisse qui peut se percevoir dans la rénovation. « Mais malgré tout, on ne peut pas parler d’une embellie, mais d’amorce », a déclaré Patrick Liébus. Pour soutenir l’activité en 2010, avant une éventuelle reprise l’an prochain, le Président a rappelé l’importance du dynamisme et de la diversification des métiers de l’artisanat, notamment vers les secteurs du développement durable (photovoltaïque, éolien…). Il a également insisté sur la pérennité des mesures gouvernementales et l’accompagnement de l’Etat en matière de logement.

Cependant, une des mesures phares de la pérennité de l’artisanat réside, selon lui, surtout dans le maintien de la TVA à 5.5% dans le bâtiment, qui si elle n’est à ce jour pas remise en cause, ne doit pas disparaître après l’échéance de fin 2010. « Nous ne comprendrions pas comment cette mesure qui a créé des emplois pourrait disparaître », a estimé Patrick Liébus, qui préfère anticiper sur le sujet. « Il faudra qu’on nous l’annonce très vite ! », a-t-il martelé. Si le Président déplore la perte de 15.000 emplois l’an dernier, il précise toutefois qu’en 2010, « il y a une volonté d’embaucher très marquée ».

Source :
http://www.batiactu.com

Zoom sur le métier de paysagiste

Interview de Nathalie R., paysagiste


Qu'est-ce qu'un paysagiste ?
Le métier de paysagiste consiste à aménager, mettre en valeur, donner un style à un jardin quel qu'il soit avec différents végétaux et matériaux. Le travail, ainsi que le choix des formes et des couleurs est très important.
Quels sont vos clients, particuliers, entreprises, et en quelle proportion ?
Le paysagiste peut travailler avec une très large clientèle: du simple particulier aux grands groupes industriels en passant par des parcs de châteaux.

Quel est votre travail au quotidien ?
Mon travail au quotidien est très variable : je travaille aussi bien au bureau que sur les chantiers. Lorsque je travaille au bureau, je réalise des devis ainsi que des plans techniques pour nos clients.
Sur les chantiers, je dirige du personnel, avec lesquels nous réalisons divers aménagements : plantations diverses, gazon, maçonnerie paysagère, clôture...ainsi que des chantiers d'entretien : taille, tonte, débroussaillage.

Quels sont les services proposés aux particuliers ?
Les services que nous proposons aux particuliers sont en général des services de création : aménagements de massifs, haies, parc; réalisation de terrasses, allées, bassins, rocaille, murets, clôture. Nous pouvons également entretenir leur propriété : bêchage, taille, tonte...

Quelle formation avez-vous suivi pour devenir paysagiste ?
Pour devenir paysagiste, il est important tout d'abord d'être passionné par le végétal et de bien le connaître. Ensuite on peut suivre diverses formations : BEPA, BAC, BTS , ingénieur. La voie par l'apprentissage est une très bonne chose car elle permet aux jeunes de se familiariser avec le métier et le terrain.
Moi-même , j'ai un BTS aménagements paysagers obtenu par apprentissage. Ce qui est passionnant dans ce métier, c'est que les plantes par leur comportement nous apprennent de nouvelles choses chaque jour.

Quels seraient vos conseils a un jeune qui envisagerait de faire votre métier ?
Ce que je conseillerais aux jeunes : c'est qu'il faut être passionné avant tout, puis de ne pas avoir peur du travail (assez physique), du mauvais temps. La récompense de son travail et de sa persévérance est au final : la fierté que l'on a, à admirer les jardins que l'on a créé. C'est du vivant.
Quels sont les métiers avec qui vous travaillez et quels sont leurs rôles ?
On travaille avec de nombreux pépiniéristes qui sont nos fournisseurs de végétaux. Leur rôle est de fournir leur plus belle production afin de satisfaire nos clients.

Avez-vous un jardin ?
Si oui, comment l'avez-vous aménagé dans ses grandes lignes ?
Oui j'ai un jardin, c'est un jardin médiéval, j'ai réalisé un potager en carré délimité par des dalles, et entre je cultive de nombreuses variétés de plantes aromatiques et médicinales (ma grande passion). A côté, de ce potager , j'ai également réalisé un petit bassin avec divers plantes : arbustes, vivaces variées. Plus tard je souhaiterais planter un "parc" avec des sujets de collection.

Source : aujardin.info